L’équipe d’Eva Sas
Antoine Alibert, collaborateur parlementaire à l’Assemblée nationale.
Diplômé de l’IEP d’Aix-en-Provence et titulaire d’un master de recherche en droit européen, il a travaillé deux ans pour le groupe EELV à la région Île-de-France sur les questions relatives aux transports et à la mobilité.
Basé à l’Assemblée Nationale, il est en charge du suivi législatif (projets et propositions de loi, relations avec le groupe…), notamment en lien avec la Commission des finances dont Eva SAS est vice-présidente. Il s’occupe enfin de la veille de l’actualité et de la communication nationale.
Twitter : @AntoineAlibert
Sami Adili, collaborateur parlementaire en circonscription.
Diplomé du Master 2 Droit public des affaires de l’Université Paris-Saclay, il est né et vit dans la 7ème circonscription. Cofondateur d’une association sportive et culturelle, il a aussi été administrateur d’une Maison de la jeunesse et de la culture à Viry-Châtillon.
Basé dans la circonscription, il s’occupe des permanences de la députée, gère les affaires courantes, la communication et les relations presse en circonscription.
Twitter : @SamiAdili
Éléonore Piot, collaboratrice parlementaire en circonscription.
Diplômée du Master 2 Administration du politique de l’Université Panthéon-Sorbonne, elle a fait son stage de fin d’études auprès d’Eva Sas à la fois en circonscription et à l’Assemblée.
Aujourd’hui basée dans la circonscription tout comme M. Adili, elle s’occupe des permanences de la députée, gère les affaires courantes, la communication et les relations presse en circonscription.
Twitter : @EleonorePiot
Madame la Députée, alors que vous allez voter le 28 novembre prochain pour la reconnaissance d’un Etat Palestinien je vous invite dans les débats qui précèdent à faire valoir que ce texte ne peut se contenter d’être une vague motion de reconnaissance de la Palestine mais doit exiger l’application de tous les droits fondamentaux reconnus aux Palestiniens depuis des décennies par toutes les instances internationales, tels que le respect de leur souveraineté sur Jérusalem-Est, comme sur la totalité de leur territoire actuellement occupé, morcelé et accaparé par Israël, tout comme le respect de la résolution 194 de l’ONU, concernant le droit au retour pour tous les réfugiés palestiniens.
Et pour ne pas être un voeu pieux, cette reconnaissance doit s’accompagner de sanctions contre Israël, qui bien que se moquant systématiquement du droit international comme des droits de l’homme, bénéficie de toute une série de privilèges et de collaborations avec la France.
Espérant pouvoir compter sur votre groupe parlementaire, je vous adresse mes salutations distinguées. Mme Oudrer